Voyage à travers les symboles sacrés

Le texte présente une série de symboles, accompagnés d'explications détaillées sur leurs significations dans diverses cultures et traditions religieuses et artistiques.

Par exemple, un extrait décrit en détail le symbole du poisson, l’un des signes les plus répandus des premiers siècles du christianisme. Il est souligné que l’image du poisson était utilisée en raison de son rôle important dans le récit évangélique et du fait que le mot grec « Ichthus » se compose de cinq lettres, ce qui lui conférait une signification symbolique supplémentaire. Cela illustre la manière dont, à travers des images familières (poisson, pêcheurs d’hommes), l’idée d’un appel au service apostolique était transmise (« L’un des symboles les plus répandus des premiers siècles était le poisson… » (source: lien txt, page 8)).

Un autre passage aborde les symboles dans l’esthétique artistique : la colombe blanche y représente la paix, tandis que la « Grande rivière russe » symbolise la liberté, l’immensité et la richesse. Il est également mentionné que, dans une œuvre, des éléphants disposés en demi-cercle – précisément sept, traditionnellement associés au concept de bonheur – étaient présents (« La colombe blanche est le symbole de la paix. La Grande rivière russe ! Elle est le symbole de notre liberté, de notre espace et de notre richesse. Sur le miroir, sept éléphants étaient disposés en demi-cercle – symbole traditionnel du bonheur. » (source: lien txt, page 1463)).

Le texte évoque également le rôle des symboles dans l’art religieux de l’ancienne Mésopotamie. On y trouve à la fois des représentations iconiques plus récentes (comme des emblèmes, des vêtements et des attributs associés à des dieux spécifiques) et des symboles plus anciens – des signes végétaux, ainsi que des corps célestes (la Lune, le Soleil, l’éclair) et diverses figures géométriques telles que des croix, des pentagones, des losanges, des svastikas, etc. Une attention particulière est portée à la manière dont ces signes et formes étaient liés aux divinités : par exemple, le dieu lunaire Sin adopta le symbole du croissant, tandis que Shamash était associé au disque solaire (« Les symboles des dieux dans l’art mésopotamien… » (source: lien txt, page 7)).

Le texte aborde également la thématique des symboles chrétiens, utilisés pour révéler progressivement le sens sacré des mystères. Sont ici mentionnés les symboles bibliques traditionnels, tels que l’agneau et l’arche de Noé, qui servaient d’images reconnaissables pour les fidèles (« Le sens des symboles chrétiens se dévoilait progressivement… Les premiers chrétiens utilisaient avant tout des symboles bibliques, comme l’agneau, l’arche de Noé, etc. » (source: lien txt, page 7)).

Un autre extrait est consacré à la question de l’unité divine : les symboles orientaux, en ajoutant le mot « unique » au nom « Dieu le Père », posaient la question de la séparation logique entre les notions de « Dieu » et de « Père », afin de préserver l’idée de l’unité de Dieu sans confondre ce titre (« En ajoutant le mot ‘unique’ au nom ‘Dieu le Père’, les symboles orientaux ont mis en avant la problématique de l’unité divine… » (source: lien txt, page 55)).

Enfin, le texte décrit des événements liés à l’inhumation de Jésus, où des détails concrets (le corps enveloppé dans un linceul de lin pur, un nouveau tombeau, une pierre placée à l’entrée) revêtaient une charge symbolique, reflétant des idées religieuses profondes sur la mort et la résurrection (source: lien txt, page 18).

Ainsi, le texte évoque les symboles suivants et les significations qui leur sont attribuées :
• Le poisson – symbole du christianisme primitif, lié au récit évangélique et à la symbolique numérique du mot grec « Ichthus ».
• La colombe blanche – symbole de la paix.
• La Grande rivière russe – symbole de liberté, d’immensité et de richesse.
• Les sept éléphants – symbole traditionnel du bonheur.
• Dans l’art mésopotamien – des symboles végétaux, des corps célestes (Lune, Soleil, éclair) et des figures géométriques (croix, pentagones, losanges, svastikas, etc.) associés aux formes et attributs des divinités.
• Des symboles bibliques, tels que l’agneau et l’arche de Noé, servant de vecteurs pour transmettre des vérités sacrées.
• Des symboles orientaux, liés à la notion de « Dieu le Père Unique », illustrant l’effort de souligner l’unité divine.

Citations de référence :
« L’un des symboles les plus répandus des premiers siècles était le poisson. L’acceptation par les chrétiens de ce symbole avait bien sûr été favorisée par le rôle important joué par le poisson dans le récit évangélique… la signification des cinq lettres du mot grec ‘poisson’ – Ichthus. » (source: lien txt, page 8)

« La colombe blanche est le symbole de la paix. La Grande rivière russe ! Elle est le symbole de notre liberté, de notre espace et de notre richesse. Sur le miroir, sept éléphants étaient disposés en demi-cercle – symbole traditionnel du bonheur. » (source: lien txt, page 1463)

« Les symboles des dieux dans l’art mésopotamien, comme on peut le constater, doivent leur signification sacrée à une série de signes ou d’objets… (croix, pentagones, losanges, svastikas, etc.). » (source: lien txt, page 7)

« Le sens des symboles chrétiens se dévoilait progressivement… Les premiers chrétiens utilisaient avant tout des symboles bibliques, comme l’agneau, l’arche de Noé, etc. » (source: lien txt, page 7)

« En ajoutant le mot ‘unique’ au nom ‘Dieu le Père’, les symboles orientaux ont mis en avant la problématique de l’unité divine… » (source: lien txt, page 55)

« Joseph prit le corps du Seigneur, l’enveloppa dans un linceul de lin pur et le plaça dans un nouveau tombeau… (symbolique du Saint-Sépulcre) » (source: lien txt, page 18)

Voyage à travers les symboles sacrés

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