Cette affirmation peut être interprétée de manière à signifier que le comportement des créatures constitue la cause des punitions subséquentes et qu'au lieu de modifier ou d'améliorer sa propre nature, le Seigneur se fait l'organe de condamnation des créatures pour leurs choix et leurs actions.

Punition divine : le reflet du choix des créatures

Cette affirmation peut être interprétée de manière à signifier que le comportement des créatures constitue la cause des punitions subséquentes et qu'au lieu de modifier ou d'améliorer sa propre nature, le Seigneur se fait l'organe de condamnation des créatures pour leurs choix et leurs actions. Autrement dit, dans cette optique, l'accent n'est pas mis sur la perfection de Dieu, mais sur la reconnaissance de l'imperfection des créatures et sur l'instauration de punitions comme moyen de correction.

Par exemple, la source issue du fichier lien txt déclare :
« Puisque l'homme a violé le commandement, il s'est infligé la punition des maladies : il devait mourir, ... Maintenant, comme ils ont mené une vie médiocre, Il leur menace, en guise de punition, l'enfer. »
Cette citation démontre que la punition divine (par l'enfer) est appliquée pour signaler aux créatures leurs insuffisances, servant ainsi d'avertissement sur la nécessité d'une correction à travers la prise de conscience de la nature de leurs actes.

Une autre perspective est présentée dans la source issue du fichier lien txt, où il est dit :
« Si l'âme de l'homme est emplie d'obscurité, il choisit la sienne, l'obscurité. C'est pourquoi l'enfer n'est pas une punition ; c'est la miséricorde de Dieu envers ceux qui ne peuvent ni ne veulent accueillir quoi que ce soit de sacré... »
Ici, il est souligné que la menace de l'enfer peut être considérée comme une mesure comportant un élément de miséricorde pour ceux qui ont déjà rejeté la possibilité d'intégrer quelque chose de sacré. Cela indique que la responsabilité du choix de sa propre destinée incombe à la créature, et non à une amélioration de Dieu.

Ainsi, cette affirmation peut être interprétée comme l'expression de l'idée que la logique divine en matière de punition des créatures repose sur leur libre arbitre et leur incapacité à vivre conformément aux commandements. Le Seigneur tient les créatures responsables de leur imperfection, car elles s'éloignent des idéaux véritables, et au lieu de se perfectionner Lui-même, Il établit une mesure de punition par la menace de l'enfer, servant ainsi de rappel quant à la nécessité d'une correction morale.

Citations à l'appui :
« Puisque l'homme a violé le commandement, il s'est infligé la punition des maladies : ... Maintenant, comme ils ont mené une vie médiocre, Il leur menace, en guise de punition, l'enfer. » (source : lien txt)

« Si l'âme de l'homme est emplie d'obscurité, il choisit la sienne, l'obscurité. C'est pourquoi l'enfer n'est pas une punition ; c'est la miséricorde de Dieu envers ceux qui ne peuvent ni ne veulent accueillir quoi que ce soit de sacré — voire même refuser d'en entendre parler. » (source : lien txt)