Selon les documents provenant de la source lien txt, les agents du GPU ont commencé à détenir des représentants religieux, y compris des prêtres et des laïcs, car on estimait que leurs actions visaient à saper l'autorité soviétique.

Répression religieuse : arrestations et contestations des commémoratio

Selon les documents provenant de la source lien txt, les agents du GPU ont commencé à détenir des représentants religieux, y compris des prêtres et des laïcs, car on estimait que leurs actions visaient à saper l'autorité soviétique. Dans l'un des rapports, il est indiqué qu'après le 30 mars, le GPU a arrêté plusieurs membres du clergé et même une femme qui se trouvait par hasard dans la cathédrale – cela a été interprété comme la preuve que les participants à ces événements, supposément considérés comme des traîtres à la patrie, exploitaient les préjugés religieux des masses à des fins contre-révolutionnaires ( lien txt).

Par la suite, les documents expliquent que la reprise des commémorations du patriarche Tikhon, organisée par le responsable religieux Vladimirskyi sur ordre reçu de l'évêque Seraphim, était perçue comme une manifestation sinistre d'une activité contre-révolutionnaire. Une telle initiative était considérée par les autorités comme l'utilisation des rites religieux pour saper le régime soviétique. Ce fait a servi de fondement aux accusations portées contre les participants – ils étaient qualifiés de traîtres à la patrie, car leurs actions, selon le GPU, devaient conduire à la déstabilisation de l'ordre social. Bien que certaines accusations aient inclus des formulations extrêmes, telles que l'affirmation selon laquelle il était question de planifier l'assassinat d'un haut responsable spirituel, l'attention principale était portée sur l'idée que, par le biais des rassemblements religieux et des commémorations, ces personnes incitaient prétendument à la résistance contre le pouvoir.

Ainsi, les arrestations ont eu lieu parce que les autorités considéraient ces manifestations religieuses – en particulier la reprise des commémorations du patriarche Tikhon – comme une tentative de mobiliser le peuple contre le pouvoir soviétique. C'est dans ce contexte que les accusations de trahison de la patrie et les formulations extrémistes (incluant des allégations de complot et l'affirmation d'un supposé projet d'assassinat) ont constitué la base des arrestations.