Les Défis de la Résilience Masculine Moderne

Il existe plusieurs facteurs interdépendants susceptibles de saper la résilience même de l’homme le plus fort, intelligent et séduisant. Tout d’abord, d’importants changements dans les rôles sociaux et familiaux entraînent une perte des valeurs traditionnelles associées aux hommes. Comme le souligne le document lien txt : « Et dans notre peuple, on voit comment l’humanité a modifié son essence propre. Chez nous, les femmes ont commencé à travailler deux emplois, tout en allant faire les courses, en élevant les enfants et même en s’occupant de leurs maris – c’est-à-dire qu’elles sont devenues comme des hommes, et de très forts hommes. Tandis que les hommes se sont transformés en une sorte de boue, incapables aussi bien de subvenir aux besoins de la famille que d’arrêter de fumer ou de renoncer à un verre de vodka. Personne ne peut travailler, ils ne sont tout simplement pas capables. Tant que tu es là, bâton en main, ils feront un peu, mais dès que tu t’éloignes, ils ne feront rien.

Pourquoi un tel amas de mollesse au lieu de virilité ?

Ils ont perdu leur essence propre. Et le rétablissement de celle-ci n’est possible que par la grâce divine. » Cela montre que le changement des rôles traditionnels et le déclin des qualités personnelles affectent négativement la résilience des hommes.

Ensuite, les transformations socio-culturelles exercent une pression qui conduit à une agressivité intérieure, voire à l’autodestruction. Le document lien txt indique : « Les psychologues ont depuis longtemps remarqué – plus un peuple est cultivé, plus l’écart entre le nombre de suicides et de meurtres est important. Dans une société à la conscience primitive, l’agressivité se déverse toujours à l’extérieur, tandis que dans une société et une culture plus développées, l’homme la réprime en lui-même, et celle-ci se tourne vers l’intérieur. La Russie des années 90 parait être un pays follement barbare, mais remarquez – il n’y a pas eu un seul pogrom initié par la population russe. Et pourtant – une mortalité catastrophique et un protestation suicidaire des hommes russes. » Cela suggère que la lutte intérieure et l’agressivité refoulée peuvent miner la stabilité psychologique.

De plus, l’évolution des rôles sociaux, comme l’indique le document lien txt, montre que « à la base, au fondement de l’émancipation et du mouvement féministe ne se trouve pas la lutte contre les hommes en général, mais plutôt une sorte de protestation subconsciente contre l’incapacité et la faiblesse masculine. » Cela souligne que la perte des normes traditionnelles et des idéaux de la force masculine conduit à une crise d’identité et de stabilité.

Il ne faut pas oublier non plus les problèmes modernes des relations interpersonnelles, lorsque, comme le précise le document lien txt, « Peut-être la raison tient-elle dans le fait que, dans un monde doté d’abondance de commodités et de divertissements, les lois simples et vitales des relations humaines commencent à paraître inutilement compliquées et confuses ? Le courage d’être ensemble. Par exemple, pourquoi la grande majorité des hommes modernes ne souhaite-t-elle pas se marier – ne veut-elle pas perpétuer leur nom dans l’histoire, ne veut-elle pas se sentir chef de famille et propriétaire ? L’amertume serait sans doute liée à la solitude et au manque de compétences en communication dans ce monde. » Cela indique que les difficultés à construire des relations et le sentiment d’isolement jouent également un rôle crucial dans la diminution de la résilience masculine.

Enfin, la discipline personnelle et la capacité de contrôler ses réactions se révèlent être des aspects essentiels. Comme on le voit dans le document lien txt : « Et le plan masculin devient fortement orienté, voilà, ça a marché. On m’a donné quelque chose – et j’ai riposté, il y a eu une bagarre, et j’ai eu trois ans. Ce n’est pas en supportant ou en essayant de régler les choses – il m’a dit ! que ferais-je si je restais silencieux ? Eh bien, reste en prison alors, si tu ne peux supporter le moindre inconfort. C’est ainsi que le jeûne – le début de l’abstinence – commence. Se retenir un peu, ne serait-ce que dans le domaine le plus simple, comme la nourriture – et ce sera déjà le premier pas. » Cela souligne que l’incapacité à supporter des situations stressantes et à maîtriser ses impulsions agressives peut avoir des conséquences négatives.

Ainsi, la résilience même de l’homme le plus fort peut être ébranlée par une combinaison de facteurs sociaux, culturels, personnels et interpersonnels : un déplacement des rôles traditionnels, l’agressivité intérieure et les tendances autodestructrices, une crise de l’identité accompagnée de problèmes de communication et, enfin, un manque de discipline personnelle.

Supporting citation(s):
« Et dans notre peuple, on voit comment l’humanité a modifié son essence propre. Chez nous, les femmes ont commencé à travailler deux emplois, tout en allant faire les courses, en élevant les enfants et même en s’occupant de leurs maris – c’est-à-dire qu’elles sont devenues comme des hommes, et de très forts hommes. Tandis que les hommes se sont transformés en une sorte de boue, incapables aussi bien de subvenir aux besoins de la famille que d’arrêter de fumer ou de renoncer à un verre de vodka. Personne ne peut travailler, ils ne sont tout simplement pas capables. Tant que tu es là, bâton en main, ils feront un peu, mais dès que tu t’éloignes, ils ne feront rien.

Pourquoi un tel amas de mollesse au lieu de virilité ?

Ils ont perdu leur essence propre. Et le rétablissement de celle-ci n’est possible que par la grâce divine. » (source : lien txt)

« Les psychologues ont depuis longtemps remarqué – plus un peuple est cultivé, plus l’écart entre le nombre de suicides et de meurtres est important. Dans une société à la conscience primitive, l’agressivité se déverse toujours à l’extérieur, tandis que dans une société et une culture plus développées, l’homme la réprime en lui-même, et celle-ci se tourne vers l’intérieur. La Russie des années 90 parait être un pays follement barbare, mais remarquez – il n’y a pas eu un seul pogrom initié par la population russe. Et pourtant – une mortalité catastrophique et un protestation suicidaire des hommes russes. » (source : lien txt)

« À la base, au fondement de l’émancipation et du mouvement féministe ne se trouve pas la lutte contre les hommes en général, mais plutôt une sorte de protestation subconsciente contre l’incapacité et la faiblesse masculine. » (source : lien txt)

« Peut-être la raison tient-elle dans le fait que, dans un monde doté d’abondance de commodités et de divertissements, les lois simples et vitales des relations humaines commencent à paraître inutilement compliquées et confuses ? Le courage d’être ensemble. Par exemple, pourquoi la grande majorité des hommes modernes ne souhaite-t-elle pas se marier – ne veut-elle pas perpétuer leur nom dans l’histoire, ne veut-elle pas se sentir chef de famille et propriétaire ? L’amertume serait sans doute liée à la solitude et au manque de compétences en communication dans ce monde. » (source : lien txt)

« Et le plan masculin devient fortement orienté, voilà, ça a marché. On m’a donné quelque chose – et j’ai riposté, il y a eu une bagarre, et j’ai eu trois ans. Ce n’est pas en supportant ou en essayant de régler les choses – il m’a dit ! que ferais-je si je restais silencieux ? Eh bien, reste en prison alors, si tu ne peux supporter le moindre inconfort. C’est ainsi que le jeûne – le début de l’abstinence – commence. Se retenir un peu, ne serait-ce que dans le domaine le plus simple, comme la nourriture – et ce sera déjà le premier pas. » (source : lien txt)