L'association de l'Église aux biens matériels et au pouvoir mondain déforme fondamentalement sa mission première et conduit à la dégénérescence spirituelle tant de la communauté que de l'individu croyant. Cet attachement à l'argent et au pouvoir étatique détourne du véritable objectif – le salut des âmes et une communication sincère avec Dieu, qui, par nature, est éloigné de toute quête de domination et de violence.
Le texte aborde deux questions clés qui influent considérablement sur la compréhension de la pratique religieuse du Grand Carême. La première concerne la dualité du carême – son aspect extérieur (régime strict d’abstinence alimentaire, respect des règles prescrites) et son aspect intérieur (repentir, purification de la conscience, renforcement de la volonté). La seconde question est liée au fait que l’observance du carême ne doit pas se limiter aux restrictions rituelles, mais requiert un véritable renouveau intérieur, un désir sincère de prière et de repentance.
L'expérience de la vision de Dieu dans le contexte de la foi peut être comprise comme une expérience durant laquelle la sensation subjective et la perception intuitive du Divin se transforment progressivement en une certitude intérieure forte quant à l'existence et à la personnalité de Dieu. Autrement dit, la vision initiale ou la contemplation peut servir de point de départ, à partir duquel émerge la prise de conscience d'une réalité éternelle et de la présence personnelle de Dieu.
Selon les matériaux fournis, il existe l’idée que Dieu et l’Église perçoivent la violence non pas comme un mal absolu, mais comme un phénomène extrêmement négatif, quoique parfois nécessaire dans un monde imparfait. Autrement dit, Dieu admet la violence parce que l’esprit humain ne peut pas appréhender complètement la profondeur et l’intégralité du plan divin, où un mal rationnel peut se transformer en un service au but supérieur. Dans l’un des extraits, il est dit :
L’expérience d’entendre la voix de Dieu implique la perception de révélations soudaines, puissantes et souvent prophétiques, lorsque des mots ou des phrases surgissent dans la conscience comme s’ils étaient envoyés d’en haut. Cette expérience n’est pas tant le fruit d’un raisonnement logique que le résultat d’une illumination profonde, émotionnelle et personnelle, capable de transformer la vie d’une personne. Cette voix n’est pas interprétée comme une simple formation mentale aléatoire, mais comme un message divin – clair, précis et empreint de sens.
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