- 20.03.2025
Le proverbe «S'il n'y a pas de Dieu, alors tout est permis» indique l'existence potentielle d'une anarchie morale qui émerge en l'absence d'une autorité suprême régissant les normes éthiques et la responsabilité. Cela implique que, sans l'établissement divin du bien et du mal, la base objective nécessaire pour distinguer le juste de l'injuste disparaît, ce qui peut mener à la poursuite effrénée de désirs personnels.
La question de savoir si les non-croyants agissent pire que les croyants est ambiguë, et les documents présentés montrent qu’il existe des arguments en faveur comme en défaveur de cette affirmation.
Si l'on imagine que le véritable Dieu intervenait directement dans les affaires de l'humanité, affrontant Satan, une telle ingérence active pourrait créer une image trompeuse. En essence, l'activité du mal s'avère toujours illusoire et fictive par rapport à l'Être Divin, car même si la présence satanique montre l'apparence d'une puissance, elle ne possède en réalité aucune force autonome en dehors des limites que Dieu lui impose. Autrement dit, si Dieu lui-même intervenait pour affronter Satan, ses actions finiraient par limiter la manifestation du mal à des contextes restreints, donnant ainsi l'illusion de puissance à celui qui, en vérité, est dépourvu de force réelle.
La situation où l’homme destiné à apporter la guérison, enfin trouvé après de longues recherches, refuse soudainement d’accomplir sa mission peut être perçue non pas simplement comme une déception des attentes, mais comme un signe indiquant que des forces supérieures ou un dessein divin confèrent à cette histoire un sens caché et différent.
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