D'après les sources présentées, l'abandon de la foi orthodoxe – c'est-à-dire le passage à une autre foi ou le refus de participer aux sacrements de l'Église orthodoxe – est considéré comme un risque de perte de la grâce et, par conséquent, comme une possibilité pour l’âme de sombrer en enfer.
Dans la société moderne, l’adhésion obligatoire à une organisation religieuse n’est pas considérée comme une condition nécessaire pour mener une vie épanouie. Comme indiqué dans une des sources, « Sans l’Église, seule la vie chrétienne est impossible, et il y a très peu d’ardents pour cette vie ; pour la majorité, une vie semi-païenne est plus agréable. Le culte moderne des idoles se manifeste également par le rejet de la Sainte Église… » (source : 1704_8517.txt). Cela témoigne du fait que, bien que la religion influence la formation de valeurs, pour de nombreuses personnes, appartenir à l’institution ecclésiastique n’est ni une priorité ni une nécessité dans la vie quotidienne.
Le monde est structuré de telle manière que les conditions de la nature créent une situation où la survie exige de faire face à de multiples facteurs – que ce soit la recherche de nourriture, la protection contre les prédateurs ou la concurrence pour des ressources limitées. Chaque être vivant est contraint de lutter pour son existence, puisque l’environnement impose des conditions où certains individus tirent leur avantage de qualités innées ou acquises.
Le témoignage biblique convainc du caractère divin des plans enregistrés, car sa profondeur et sa sagesse découlent précisément du fait qu'il transmet la bonne nouvelle apostolique, c'est-à-dire un témoignage direct des desseins divins qui dépassent toute compréhension humaine. Ce témoignage n'est pas le fruit de l'imagination humaine : il est transmis par des personnes élues, ayant reçu la révélation et éprouvées dans la foi. En particulier, l'apôtre Paul souligne par ses paroles que la véracité des Écritures réside dans leur capacité à transmettre la Parole de Dieu, affirmant que le Christ est mort pour nos péchés exactement conformément aux prescriptions des Écritures. Ainsi, si l'apôtre, étant le moindre des apôtres, accepte et transmet ce témoignage, alors sa profondeur et sa sagesse servent d'argument puissant en faveur du fait que, derrière les textes, se trouve quelque chose de bien plus grand que la simple pensée humaine – à savoir, un dessein divin (citation de 763_3810.txt).
En réponse à votre question, on peut dire que, selon les documents présentés, la Bible n'est pas considérée comme le résultat d'une pensée purement humaine, mais comme l'expression simultanée de la Révélation Divine et de l'activité créative humaine. Autrement dit, elle est la Parole de Dieu, transmise à travers le langage humain, et dans cette traduction et expression se font entendre à la fois la voix de Dieu et l'individualité des auteurs.
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