• 20.03.2025

L'odeur du vice et l'influence de l'esprit malfaisant

Dans les sources présentées, on constate une distinction entre la notion de « mauvaise odeur » en tant que propriété des choses matérielles et l'image métaphorique qui peut rappeler la manifestation de vices, et le concept d'un esprit malfaisant, agissant de manière active – même s'il est permis par le dessein divin – comme influence spirituelle sur l'homme. Par exemple, dans l'un des textes, il est souligné que les attirances, les vices et les « esprits » qui leur correspondent peuvent persister en l'homme de la même manière qu'une odeur persiste dans une pièce imprégnée de substances malodorantes :

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  • 20.03.2025

La quête de l'essence divine

L'enseignement de la connaissance de soi dans les évangiles apocryphes, tels que l'évangile de Thomas et celui de Jean, occupe une place centrale dans leur vision théologique. Ces textes voient dans la connaissance de soi la clé pour découvrir le véritable « moi », lié à la nature divine et à la source de la lumière. Selon eux, connaître son origine intérieure et son destin véritable permet de revenir à un état originel et pur, affranchi de la corruption du monde matériel. Par exemple, l'introduction à l'évangile de Thomas note :

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  • 20.03.2025

Ivresse destructrice et éloignement spirituel

Les textes sacrés ne cachent pas une critique sévère de la consommation effrénée d’alcool, considérant l’ivresse comme une passion destructrice qui prive l’homme de raison et l’éloigne de Dieu. Par exemple, l’une des sources indique que l’abus excessif de vin est perçu comme une passion fatale, selon laquelle « l’ivresse conduit à la destruction de la personnalité et à l’éloignement de l’homme de Dieu ». De plus, dans l’Ancien Testament, un avertissement est donné : « Le vin est moqueur, la boisson forte est la frénésie, et quiconque s’y adonne n’est pas sage » (Proverbes 20:1). Cette citation démontre que, même si le vin peut être considéré comme un symbole de vie (associé, par exemple, au sang des grappes de raisin dans d’autres contextes), sa consommation débridée est interprétée comme un écart par rapport aux préceptes divins et aux normes morales.

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  • 20.03.2025

Dialogues libres : de la philosophie religieuse aux espaces numériques

À partir des citations présentées, la discussion se concentre sur les sociétés religieuses et philosophiques du début du siècle dernier, jouant le rôle de centres de dialogue intellectuel libre qui réunissaient des questions de foi, de culture et de vie sociale. En particulier, le premier texte décrit en détail comment, à Moscou, existait la société « Mémoire de V. Soloviev », qui incarnait une pensée libre et une quête de vérité au-delà des cadres établis par l'Église – « la réflexion n’était pas tant théologique que religieusement philosophique » (source : 1247_6231.txt). Dans le second extrait cité, il est noté que lors de telles réunions, grâce à une recherche spirituelle et intellectuelle approfondie, on abordait des questions auxquelles le christianisme historique traditionnel ne pouvait apporter de réponses, reflétant ainsi l’attente d’un nouveau dévoilement de la vérité (source : 1247_6231.txt). Le troisième texte met en lumière la culture intellectuelle élevée des participants à ces cercles, qui unissaient une conscience religieuse à une analyse philosophiquement historique des problèmes de la vie (source : 1247_6233.txt).

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