Au cœur de la question se trouve la distinction entre la force intérieure, personnelle de la foi et le fondement social – l’accord, c’est-à-dire la confiance et la compréhension mutuelles entre les individus. L’étude de ces concepts montre que la foi, en tant qu’acte libre de volonté, revêt une importance capitale pour le développement spirituel personnel. Par exemple, un des extraits cités déclare :
Selon une des descriptions (du fichier 1483_7414.txt), il est possible d'obtenir une croix digne à porter sur soi en s'adressant à un bijoutier qui pourra la fabriquer sur commande personnalisée. Dans un des cas, le narrateur décrit la situation ainsi :
En rappelant le martyre des martyrs de Nicomédie, l'Église n'invite pas tant à la tristesse qu'à voir en leur exemple un témoignage profond de la foi, une confirmation du pouvoir salvateur de la croix et des souffrances destinées à certains, appelés « martyrs » par la grâce divine. Comme le rapporte une source : « Que beaucoup tombent, les autres non seulement se sauvèrent eux-mêmes, mais, contrairement à Pline, conduisirent l'État à se tourner vers le Christ. Il est intéressant de noter que, comme nous le verrons, ce sont notamment les martyrs de Vifin qui ont largement contribué à cela (martyrs de Nicomédie sous Dioclétien) » (source : 1309_6544.txt). Cela témoigne que, même dans les persécutions violentes, le sacrifice pour la foi a contribué à transformer le destin de communautés entières et même l'organisation de l'État.
L'Église, dans ses questions doctrinales, distingue celles qui touchent à l'essence même de la foi, tandis que les désaccords peuvent survenir au sujet de la discipline ecclésiastique, des coutumes et des considérations pastorales pratiques.
Selon les extraits discutés, il est affirmé que le grand nombre des ressuscités se trouve en réalité « dans le ciel ». En particulier, l'une des sources indique directement :
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