• 20.03.2025

Examen multidimensionnel de l'existence divine

Dans le débat sur l'existence de Dieu, plusieurs arguments peuvent être présentés, reflétant à la fois une position favorable et défavorable, tout en montrant les limites des méthodes adoptées par la science pour résoudre cette question.

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  • 20.03.2025

L'unité sacrée de l’Église

L’Église est unique et sacrée en ce qu’elle n’est définie ni par des intérêts commerciaux ni par une organisation corporative, mais par un lien intérieur profond et vital entre ses membres et une origine spirituelle commune. Cette sainteté se manifeste à travers une unité qui possède un caractère ontologique, c’est-à-dire essentiel, inaccessible aux structures commerciales ou autres entités commerciales.

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  • 20.03.2025

Les Limites de la Définition Universelle du Mal

Définir le mal par une définition textuelle unique pour des objets dotés d'une nature biologique (par exemple, des humains, des animaux) et pour ceux ne possédant pas de propriétés biologiques est extrêmement problématique. D'une part, de nombreux enseignements décrivent le mal comme un phénomène secondaire par rapport au bien – en tant que résultat d'une mauvaise utilisation des forces qui, à l'origine, sont le bien. Par exemple, on affirme que :

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  • 20.03.2025

Paradoxe divin : Grâce extérieure et divinité intérieure

La différence réside dans le fait que, pour le croyant, la recherche de son identité à travers Dieu implique de se tourner vers une source extérieure et transcendante de grâce, qui annonce une transformation personnelle et une profonde union ontologique avec le divin. Le croyant fait l'expérience de son imperfection, prend conscience de son besoin intérieur de rédemption et de pardon, et grâce à ce recours à une force extérieure, il trouve la plénitude de vie qui lui manque lorsqu'il vit en lui-même de manière autonome. Ainsi, l'union avec Dieu signifie que le vrai « moi » de l'homme trouve sa complétude et sa guérison dans toute l'étendue de la miséricorde et de l'amour divins.

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  • 20.03.2025

Les Fondements Ontologiques du Bien et du Mal

Les concepts éthiques qui abordent la base ontologique des valeurs morales considèrent la différence entre le bien et le mal non pas comme le résultat d’observations empiriques, mais comme quelque chose d’enraciné dans la nature même de l’être et dans les principes fondamentaux de la raison. Ainsi, les critères de distinction entre le bien et le mal découlent de l’idée que le bien représente une norme inconditionnelle de vie et d’action, c’est-à-dire qu’il est déjà inscrit dès le début de la différenciation en tant qu’idéal vers lequel tend la conscience morale. Par exemple, comme il est indiqué dans l’une des sources, « la toute première distinction entre le bien et le mal contient déjà l’idée de bien ou de bonté, sans aucune limitation, renfermant en elle une norme inconditionnelle de vie et d’action » (source: 1259_6294.txt). Cela signifie que la distinction morale n’est pas simplement une évaluation conditionnelle des faits empiriques, mais le reflet d’une valeur profonde, fondée ontologiquement.

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