• 20.03.2025

Les Fondements Ontologiques du Bien et du Mal

Les concepts éthiques qui abordent la base ontologique des valeurs morales considèrent la différence entre le bien et le mal non pas comme le résultat d’observations empiriques, mais comme quelque chose d’enraciné dans la nature même de l’être et dans les principes fondamentaux de la raison. Ainsi, les critères de distinction entre le bien et le mal découlent de l’idée que le bien représente une norme inconditionnelle de vie et d’action, c’est-à-dire qu’il est déjà inscrit dès le début de la différenciation en tant qu’idéal vers lequel tend la conscience morale. Par exemple, comme il est indiqué dans l’une des sources, « la toute première distinction entre le bien et le mal contient déjà l’idée de bien ou de bonté, sans aucune limitation, renfermant en elle une norme inconditionnelle de vie et d’action » (source: 1259_6294.txt). Cela signifie que la distinction morale n’est pas simplement une évaluation conditionnelle des faits empiriques, mais le reflet d’une valeur profonde, fondée ontologiquement.

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  • 20.03.2025

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  • 20.03.2025

L'Union Sacrée de l'Homme et du Divin

La philosophie considère la nature divino-humaine de l'homme comme le fondement par lequel il saisit et réalise le sens suprême de son existence, y compris la compréhension du bien. Sous cet angle, l’homme, par sa nature, n’est pas parfait et nécessite une transformation intérieure qui s’accomplit par la connexion avec le divin. C’est précisément ce lien qui lui permet d’appréhender le bien comme une partie inhérente à son essence.

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  • 20.03.2025

Foi et Pouvoir : L’Émergence de Riga

Riga est née dans des conditions où la mission spirituelle s'entremêlait avec la nécessité de défense et de contrôle politique. Comme le souligne la source, les responsables religieux utilisaient leur pouvoir non seulement pour prêcher la foi, mais également pour ériger des forteresses et organiser une force militaire. Ainsi, le Troisième Évêque de Livonie, Albert, fondateur de la ville en 1200, ne se limitait pas à un simple rôle spirituel. Il accroissait activement le nombre de guerriers et construisait des fortifications, démontrant que ses actions revêtaient une double dimension, à la fois religieuse et politique : il aspirait à la domination dans les sphères spirituelle et séculière.

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