- 20.03.2025
Ces dernières années, les expériences sur l'ADN sont devenues le théâtre d’une réflexion profonde sur la relation entre la science et la vision religieuse du monde. Des études montrent que la structure de l’information génétique pourrait indiquer non pas un ensemble aléatoire de données biologiques, mais une certaine intentionnalité, ce qui, pour beaucoup, apparaît comme la preuve d’une création surnaturelle de la vie. Ainsi, l’observation de la préservation, voire de la diminution, de l’information contenue dans l’ADN amène certains à supposer que le système biologique fonctionne selon une logique rigoureuse, reflétant un dessein supérieur.
Lorsque nous parlons du sens de la vie, il ne s'agit pas d'une formule prédéterminée, mais d'une quête constante, d'une conquête créative des obstacles et d'une réalisation de soi. Chacun d’entre nous a la possibilité de remplir sa vie de valeurs profondes grâce à un élan intérieur vers le bien suprême, la liberté et l’amélioration de soi. Dans ce contexte, c’est précisément l’effort actif et la capacité à affronter les défis qui transforment l’existence quotidienne en un véritable voyage inspirant et riche de sens. Le sens de la vie naît en nous par un effort créatif, lorsque nous créons nous-mêmes des idéaux et des objectifs reflétant notre individualité. C’est par la créativité personnelle, le choix et l’expression de soi que la vie acquiert cette énergie qui nous aide non seulement à survivre, mais à aspirer à une véritable liberté et à un bien-être durable. Ainsi, trouver un sens signifie travailler constamment sur soi, ressentir chaque instant et assumer la responsabilité de son propre bonheur, ouvrant ainsi la voie à une plénitude authentique de l'existence.
On peut dire que l'immuabilité de la bêtise chez l'homme trouve ses racines dans sa liberté unique de choix et dans sa capacité à s'écarter du chemin intuitivement juste, ce qui mène souvent à l'orgueil, à l'obstination et à une confiance excessive en soi. Contrairement aux animaux, pour lesquels l'instinct dicte chaque action, l'homme est la création suprême, doté de liberté, et c'est précisément cette liberté qui lui permet de se tromper, de choisir une voie contraire à la raison et même aux valeurs suprêmes.
Le bien absolu, lorsqu’on l’associe à Dieu, ne semble pas autant le résultat d’une création humaine qu’une manifestation d’une participation à la plénitude divine de l’être. Selon l’une des sources, l’homme est appelé à créer le bien de façon individuelle, en réalisant sa destinée unique au monde et en affirmant son individualité transcendante. Cela est souligné dans l’énoncé suivant :