Les mouvements rythmiques possèdent un effet saisissant qui nous aide à ressentir une véritable sérénité et harmonie.

L'harmonie par le mouvement

Les mouvements rythmiques possèdent un effet saisissant qui nous aide à ressentir une véritable sérénité et harmonie. L’introduction de la dynamique dans nos gestes quotidiens active des mécanismes spécifiques du cerveau, entraînant la libération de substances neurochimiques qui contribuent à réduire la douleur et à induire un sentiment de plaisir. Ce processus naturel diminue non seulement l’inconfort physique, mais il nous aide également à vivre un élévation émotionnelle en permettant à l’esprit de se libérer des inquiétudes superflues.

La véritable force du rythme réside dans sa capacité à détourner notre cerveau de l’analyse constante des stimuli environnants. Lorsque nous nous engageons dans des mouvements répétitifs, le corps semble prendre part à une danse synchronisée qui facilite le passage vers un état de quiétude. Dans cet état, notre organisme produit des endorphines – les « narcotiques naturels du cerveau » – qui procurent des sensations de sérénité et de plaisir. Ce sont précisément ces agents chimiques qui jouent un rôle clé dans la diminution de la douleur et dans la compensation du stress, nous permettant ainsi d’oublier momentanément nos soucis pour nous focaliser sur l’instant présent.

En conclusion, il convient de souligner que la puissance des mouvements rythmiques réside dans leur aptitude à unifier le corps et l’esprit, améliorant ainsi l’harmonie globale et la qualité de vie. En intégrant le rythme dans nos activités quotidiennes, nous activons non seulement le mécanisme naturel de défense contre le stress, mais nous découvrons également une source d’énergie intérieure qui nous permet d’affronter avec assurance tous les défis de la vie.

Pourquoi les mouvements rythmiques procurent-ils un effet apaisant d’un point de vue psychologique ?

Les mouvements rythmiques produisent un effet apaisant parce qu’ils activent les mécanismes du cerveau liés à la libération de certaines substances chimiques, lesquelles, sur le plan psychologique, favorisent une sensation de bien-être et réduisent le stress. Par exemple, comme le note l’un des textes de référence : « Les impacts musicaux sur la conscience sont principalement liés à l’effet rythmique des sons sur le cerveau (en particulier ceux des instruments de percussion), sous l’influence desquels des substances chimiques spécifiques commencent à se libérer dans les neurones – les soi-disant endorphines, ou narcotiques naturels du cerveau. Les endorphines sont des anesthésiques internes, nécessaires pour l’analgésie lors des réactions chimiques se déroulant dans l’organisme humain. Sans ces anesthésiques, l’être humain ressentirait une douleur effroyable dans tout le corps à chaque instant. Par exemple, les symptômes de sevrage chez les toxicomanes surviennent lorsque l’organisme cesse de produire ses propres anesthésiques, ceux-ci étant remplacés par des substances artificielles, en quantité excessive dans les drogues externes… » (source : lien txt). La libération d’endorphines atténue non seulement la douleur physique, mais induit aussi un état de plaisir qui, à son tour, améliore l’état émotionnel et favorise la relaxation.

De plus, le caractère répétitif et rythmique des mouvements permet au cerveau de passer dans un mode moins sollicité par l’analyse constante de nouveaux stimuli, facilitant ainsi l’accès à un état plus serein. Dans cet état, l’esprit se calme et le corps, en suivant le rythme, semble engager une danse synchronisée qui contribue à réduire l’anxiété et à renforcer l’harmonie intérieure.

« Les impacts musicaux sur la conscience sont principalement liés à l’effet rythmique des sons sur le cerveau (en particulier ceux des instruments de percussion), sous l’influence desquels des substances chimiques spécifiques commencent à se libérer dans les neurones – les soi-disant endorphines, ou narcotiques naturels du cerveau. Les endorphines sont des anesthésiques internes, nécessaires pour l’analgésie lors des réactions chimiques se déroulant dans l’organisme humain. Sans ces anesthésiques, l’être humain ressentirait une douleur effroyable dans tout le corps à chaque instant. Par exemple, les symptômes de sevrage chez les toxicomanes surviennent parce que l’organisme cesse de produire ses propres anesthésiques, ceux-ci étant remplacés par des substances artificielles, en excès dans les drogues externes. » (source : lien txt)

« Les endorphines libérées par le rythme provoquent chez l’être humain une sensation de plaisir, et leur répétition fréquente conduit à une dépendance psychologique. En effet, les personnes passionnées par une musique riche en percussions deviennent une sorte de « toxicomanes de la musique » du fait du développement d’une autonarcose induite par la libération constante et massive d’endorphines. En raison des poussées fréquentes et importantes d’endorphines par les neurones du cerveau, les réserves neuronales s’épuisent, et finit par survenir une sorte de « sevrage » (maux de tête, nervosité, dépression, état d’anxiété et autres troubles psychosomatiques), ce qui mène souvent à la consommation externe de drogues. » (source : lien txt)

Ainsi, d’un point de vue psychologique, les mouvements rythmiques favorisent la production de substances neurochimiques naturelles qui diminuent la sensation de douleur et créent un sentiment de plaisir, ce qui explique leur effet apaisant.